Volltext: 5(1923), Mars-Avril = Nr. 31 (31)

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66 CHRONIQUE DES FAITS DIVERS 
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CHRONIQUE DES FAITS DIVERS 
Sous celte rubrique on lira des faits-divers cueillis au hasard des grands journaux. 
Nous accepterons volontiers ceux que nos lecteurs voudrons bien nous envoyer, à condition 
qu’ils de distinguent par un caractère absurde ou surnaturel, comme ceux rapportés 
ci-dessous. 
UNE NOCE QUI FINIT MAL 
Le sieur Xavier Lulot, rentier à F., venait cFépouser la belle Julia, cartoman 
cienne et pythonisse. En cette occasion un festin eut lieu, auquel la mariée convia 
quelques-uns de ses amis, pour la plupart illusionnistes. Au dessert, l’un des convives 
offrit à l’assistance de faire un nouveau « tour » de son invention pour la distraire. 
On accepta. Il demanda l’obscurité dans la salle, ce qui se fit. A ce moment, le 
nouvel élu se sentit appréhendé et solidement ligoté sur sa chaise. Il crut à une 
plaisanterie. En quoi il eut tort. Lorsqu’il parvint à se dégager, il constata que la 
table était vide, que son portefeuille et son coffre-fort l’étaient aussi. Le fameux 
« tour » était joué. La gendarmerie est aux trousses delà mariée et de ses acolytes. 
Le Petit Journal. 
OU L'ON RETROUVE LE CONDAMNÉ A MORT 
Des inspecteurs viennent d’arrêter un nommé Théophile Bocage, déserteur con 
damné à mort par contumace. Bocage prétend qu’il a été fait prisonnier. Et il 
ajoute que, conduit en Allemagne, il s'y serait marié avec une Allemande, qu'il a 
dû quitter parce qu’elle voulait le forcer à fumer l’opium. 
Depuis son retour en France, le condamné à mort vendait un élixir de longue vie 
pour le compte d’une maison de Munich. 
Le Figaro.
	        
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