PETIT ZÈBRE
Scottich en patois dans l’azur aveugle
Moins vrai avec un sourire
Qu’au Bois de Boulogne
Rassure-toi l’hiver du charbon
Dans l’atelier de mes amis.
Des ampleurs épanouies tout simplement
S’étaient abattues en phonographies
Sous la main des poumons
Avec une aisance de lapin huileux
Délices de Barcelone
Aux récents déboires
Tu ne tromperas pas ma carrière.