33
Que je suis heureux le dos au soleil dans le harem !
Les nuages se marient dans l’eau et me donnent
les frissons orientaux d’une mare de mastic; l’at
mosphère des tramways étincelle au-dessus des
ânes en chemise; et règne sur le haut sommet des
caresses de ceinture câline.
Des femmes fleurs ont des yeux en éponges de
caoutchouc et jouent à quatre mains avec le savon
d’un jeune homme au milieu de mon estomac bou
tique de boulangerie inexploitée comme les cuisses
de Jeanne d’Arc. Quelle fortune les lèvres herméti
quement porte-serviettes sur un étalage de séduction
semblable au rictus d’un faux-col mou; comme
l’amour de l’autruche pour un palmier bien aimé.
Une jeune fille dans la nuance d’autrefois, rit du
paradis charlatan qui favorise le commerce nuisible
de la puissance sacerdotale, dernière marchandise
de l’espoir prêtre hypoténuse; sa passion spirituelle
ment sotte contient toute la gloire de Dieu.
Un grand nom a besoin de manger la paresse de la
carrière despotique d’une puissance illégitime, dé
guisée en ombrage de billet de mille francs, comme
nuit. Couvre-pieds des Champs-Elysées bien em
ployés par les industriels en bottes qui beuglent
leurs affaires tous frais payés, le cœur sur la main;
ils ont leur papier en règle à la nuit tombante, dans
le terrain vague de la maison américaine, et de jour