est de tenir trop systématiquement
compte de l’étonnement du specta
teur, toujours prêt à croire qu’on se
moque de lui. Ici cet inconvénient
cesse, aucun titre ne faisant image ni,
pourtant, double emploi. Il est im
possible de voir en lui autre chose
que le complément nécessaire du reste
du tableau. Au point de vue de l’es
prit dans lequel celui-ci a été conçu
et après avoir tant insisté sur la faculté
que Picabia possède au premier chel
de rompre avec les images qu’un
autre, depuis longtemps, se contente
rait de laisser de lui-même, est-il
besoin de faire observer que ce serait
à tort que l’on croirait pouvoir ratta
cher ces dernières œuvres à son «épo
que mécanique»? Il s’agirait d’une vé
ritable confusion et je n’ai pas à com