Volltext: Lits et ratures (4 (1922), 7)

matin 
aimer 
à jouir, l’infériorité vient de la résignation ; il faut 
sins et mépriser les victimes ; le ridicule n’existe pas. 
J’aime la franchise, les hypocrites me dégoûtent, il far 
jouissance physique à tout et ne s’abandonner qu’avec 
meme 
ressemble 
mutuellement 
face à face, qui cherchent 
Je viens d’éternuer, petites vacances dans l’infini, maintenant 
j’écoute une chanson lointaine, la chanson des spermatozoaires que 
l’appât de mon âme attire. 
La fille du ventre blanc frôle ma jambe et me donne une émotion 
sincère, écoutez-moi : 
Bror^er du noir ou du blanc c’est pareil ; n’avez-vous pas l’obscur 
sentiment de la lumière ? personne ne vous trompe, vous n’êtes plus 
jaloux ; ne pensez pas aux cimetières, à la misère, vivez comme le 
petit Jésus, tout nus mais ayez un parasol pour mettre votre sexe à 
l’ombre. 
Le spiritisme et la Théosophie font voir les êtres un peu comme 
dans une fumerie d'opium, mais le temps passe plus vite. 
Maintenant, belle danseuse de Tango, mettez-moi du rouge sur les 
lèvres ; comme vous êtes belle ! 
maquillage et me dit : « vous n’avez pas honte ? » 
Elle rougit sur le rouge de son 
Francis Picabia. 
12 octobre 1922. 
P. S. Par discrétion, enterrez votre famille et vos amis autour des 
cimetières. 
Nietzsche vivait sur le pont du surhumain ; Jean Cocteau vit sur le pont de la 
concorde. 
Il n’y a d’indispensable que les choses inutiles. 
F. P. 
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