/ 
13 
Si j’allais me prendre à ce chromo l’aspect des 
maisons à huit heures d’été 
Vertige Le décor devient le visage de la vie 
La face de cette fille que j’ai tant aimée 
Pour ses mains ses yeux faits et sa stupidité 
Comme tu mentais bien paysage de l’amour 
Il y avait cette place au creux de ton épaule 
El les frissons qui glissaient comme une eau sur ma 
figure 
Courroux courroux mais tu chantais à voix basse 
comme la plus innoncente 
Et tu ne trouvais que des consonnes sourdes 
Des sons issus du sang pour nommer les lèvres les 
caresses 
lout ce qui dansait entre deux corps comme la 
flamme du désir 
Un bourdonnement de mouches sur les fruits signifiait 
moi-môme 
Et quand j’étais trop las tu laissais avec à propos 
pendre un bras mûr 
J’attends que renaisse la da?ne du souvenir 
Un grand trou s'est fait dans ma mémoire 
Un lac où l’on peut se noyer mais non pas boire 
Aucun remords ne t’éveille et tu sens le lit sous tes 
reins 
Jusqu’à ce que ce dernier appuie s’affaisse et ‘que tu 
t’enfonces dans le vide 
Au pays souterrain du songe 
Alors je retombe en enfance
	        
Waiting...

Nutzerhinweis

Sehr geehrte Benutzerin, sehr geehrter Benutzer,

aufgrund der aktuellen Entwicklungen in der Webtechnologie, die im Goobi viewer verwendet wird, unterstützt die Software den von Ihnen verwendeten Browser nicht mehr.

Bitte benutzen Sie einen der folgenden Browser, um diese Seite korrekt darstellen zu können.

Vielen Dank für Ihr Verständnis.