ne saurait se oanter, on ne saurait
même essayer de faire de l’art français
des oingt-cinq dernières années une exposi
tion complète ou même, ce qui serait plus
modeste, un „échantillonnage“: il a été bien
trop dioers dans ses manifestations, bien trop
riche en ceuores. Toutefois, il est permis de
dire que la collection que montre aujourd’hui
le Musée de Zurich ne oaut pas seulement
par le mérite propre et intrinsèque de chacune
de ses toiles, de ses effigies de bronze ou
de pierre, de ses objets décoratifs, céramique,
cuirs d’art ou bijoux. On s’est efforcé de faire
quelle fût „représentatioe“ des tendances de
cet art. Nul doute que celui-ci ne soit trop
abondant, trop fécond, pour qu’on puisse
prétendre y aDoir pleinement réussi. Telle
quelle se présente, on peut espérer pourtant
que cette Exposition comporte un enseigne
ment, quelle laisse discerner la direction des