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LV,
Braille.
• nn4iu>F. [6ra. Il mil.] (Louis), professeur, né h
Coupvray (Seinc-et-Marne) ; bien qu’aveugle depuis
l'Age .de trois ans, il inventa récriture en relief à
l image de* aveugles. Son nom a été donné à l’école
d’enseignement des aveugles (1809-1852). V. école.
• RRUIXE-L’ALI.ECD [ôré-
ne-la-leu), v. de Belgique (Bra
bant) ; 8.800 h-
BHAIKE - LE- COMTE
fôré-ne-/e-/«m-fe), v. de Belgi
que (Ilainaut) ; 9.500 h. Fila
tures.
Rit Aisne [6 ré-ne], ch.-l.
de c. (Aisne), arr. de Soissons ;
l. 640 h. Ch. de f. E.
bhAMANTE (Donato<f Av/ y V/
OKU. Lazzari. dit le), célèbi/ V
architecte italien, auteur d/s
plans de Saint-Pierre de RoÆie
(1444-15 U).
niiA.\CAS f/tass), ancidhne
famille de France. Les mus célè
PR Villarw-Braucns, brgueur,
contre Henri IV, et mifurut emA69fi
de Brunca*. ambassadeur dCytou
BUA\DEIJOmf;
Nord. Il fut, depuis
sant électorat, que lamaisiVide
et organisa et qui «fut le n
prussienne.—Aujoufld’huipro-
vince de Prusse ; 2.U5.000 h.
(Ih'ayulcbourgeoïs). Cnp. Ber
lin.
BRA!VDEBOi:ilG,\v.
Prusse, sur la Havil. af
de l'Elbe ; 53.000 h. Figures'
tissus.
Bit AND O, ch.-l. de c.
se), arr. de. Bastia ; 1.241
BRANDT, alchimiste ha
bourgeois, qui découvrit flbr-
tuitement le phosphore (1JW9) :
m. en 1692.
BRAMA (Edouard^, phy
sicien et chimiste /Tançais
né à Amiens en 1846. C’esL
ue la télégraphiifsans fil yîten
1
XI
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xii\ sièclê\le siège
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l'atmri
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672-1750):
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BHAKKE,
sur la Dordo
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Vins.
T (Sébastien),
bourg, auteur
r. de Lidourne,
poète satiri-
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sur la M
•aité ejrfre 1
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Prise dé
çais en 179°
.me grec (219-12G av.
.djjmio
.oilisme-
,n.-l. de c.
^ambrai, su/
Erclin ; 1.050 h.
asseries, tissages.
jLE, prov. de You-
; 525.000 h. Ch.-l. Lay-
~»ans une zone donnée à
•je, belles grottes et lacs
jterrains.
CARKOT [no] (Lazare),
onventionnel français, né à
ilaY, savant mathématicien,
more du comité de Salut
’ic. Il créa les quatorze
es de la République,
\gne ; il fut surnom
Exilé par la Re
il mourut à Magxle-
1753-1823); — Son fils
.colas, né et m. à Paris
132), homme de science,
•ccupé de thormodyna-
. ; — Son second fils IIip-
rs, né à Saint-umer,
me politique français, fut
nbre du gouvernement pro-
oire de 1848 (1801-1888).
CAWNOT (Sadi), fils d'Hip-
jlyte, ingénieur et homme
olitique, né à Limoges en
.837. Elu présidentdeia Répu
blique française en 1887, il fut
assassiné par un anarchiste italien, à Lyon, en 1894.
CAitNETES, ancien peuple de la Gaule.au temp
César ; il occupait le pays de Chartres.
■' (Annibale), poète italien, né à Civita-Nova
traducteur de l'Enéide.
Marie),philosophe spiritualiste et mo-
v Poitiers, mort âParis (1826-1887).
I v*/ "
Saiii Carnot.
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IL
Z,h
4\DER8E\ (HanB Christian), poète et romancier
danois, né à Odense, auteur de contes remarquables
par la fertilité de l'imagina
tion et la grâce un peu mé
lancolique du fécit (1805-1875).
ANDEKffON (Laurent),
chancelier de Gustave Wasa;
introduisit la Réforme en
Suède (1480-1552).
ANDERSON (James).agro
nome anglais, inventeur de
la charrue dite écossaise (1739-
1808).
ANDES (Cordillère des),
grande chaîne de montagnes
dominant la côte occidentale
de l’ÀmériqueduSud; 7.500kil.
de longueur. On y distingue
les Gridel de la Patagonie,
et de la Colombie. LAcon
Chimborazo (6.253 m.) en so
mets. Nombreux volcans.
AiVDOCEOE, orateur et h
né vers 468 av. .T.-C.
AND 01.811 El M 'dols-ha-in
Rhin), arr. de Colmar ; 690 h.
ANDORRE (val tf). petj
l’Aricge ; république placé/sfcüslà
France et de l’évéque ddÜDgel. Sup
5.250 h. (Andorrans). CapyAndorra
ANDRAI, (Gabriel),/médecin fran
(1797-1876).
ANDRA8SY (Juléaf comte), hom
grois. né à ZcmpliiirG4823-l890).
ANDRE (saint/,,/apôtre, frère de
crucifié sur uncjfc/vix en X. Fête le 30
Aadré (martyre de saintt. immense e
dit DominiauiAr couvent de Saint-Gré".,^ ,
— tableau djAAlurillo (Madrid) : — bclleVWUe énergi
que du Calatfrèse (Louvre).
ANDRÉ, nom de trois souverains de Hongrie, dont
le second, roi de 1205 K 1235, prit part à la 5* croisade
et confirma les privilèges des magnats et du clergé.
me
U!
.N
idigicus
NDH
tyinax.
dei Pyrrtois
» 'J.
Andcrst
’hili. du
!G.834 m.)
irincipaux
'Etat athéj
l-l. de c.
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bctio/V- uft/Va
2 kilZcm-' ;
F ieja/A
s, né|
d’E^t
aint
îs
>n-
AEGE8TE (Cæsar Octavius), empereur romain,
r \raité cp/Crc HNFr connu d'abord sous le nom d'Octave, petit-neveu
aine tAtkuYMe»^iiivAco de Jules César et son héritier, né à Rome l’an 63
av. J.-C., m. à Nola l'an 14 apr. J.-C. Il fut d’abord
triumvir avec Antoine et Lépide, garda pour sa part
l’Italie et l’Occident; il resta seul maître du pouvoir
après sa victoire d’Actium sur Antoine (31), reçut
avec le nom d'Auguste les divers pouvoirs civils et
religieux répartis jusqu'alors entre les magistrats
.. „„ _ .. „„„„ ,„ct commença ainsi l’ére des
un lion. L empereur sc lit arnenun An ) 0 mains. IlVatta-
apprit gue. .«g..t.f en Afrique, ü avait ^ fai „ oubIler , r cxccl .
■i „ îr,•?.?, ; „lcncc de son gouvernement,
is avec ce lauv a a j a gravité du changement qu’ii
orda la vie et lui fl pi' * ortait dans la “onstitu ion
vtotn dAndrocles qua^^lj blj n multiplia
«connaissance des anln leg fo / ctioo 5 aires a Ro p me ,
. jej, fils de M inos* ci*le ( j lv j sa x*italic en régions pou
il fut. par jalousie, tue ]faciliter le cens et la perccp
1/iQlK, lemvnQ dHeotoi^ on l’impôt et réorgani4(,
rèfl la prise de Troie* elle «i^dministralion des proviii-
aciryw\k'.\$> nls d Achille. Lx/iaac 1 ccs ^ partagées en provinces **
qud le s/mbolc de 1 amour conjugal, sénatoriales et provinces im-
’ iidij^mûquc, tragédie d Euripide périales; ces mesures euren
éortn plusieurs endroits par Raci pour e ff et d’augmenter l/cen
maque. tragédie de Racine, tralisation dans l’Etat. Il or
cl qui londa la réputation du P ( généralement heureuse^, en
:i/hc|de beaux vers, souvent cites : Pannonie, en Germani£(où, p
Oui, puisque je retrouve un ami si fidél Varus subit un désastjeL en
Ma foriune va prendre une (ace nouvcll en Afrique. Il adopta S’ijiêre,
.... Dans cet aveu dépouillé d’artifice, à sa mort honoré corn!
J’aime à voir que du moins vous vous r Le règne d’Auguste, cpMvru
Je ne l'ai point encore embrassé d’aujo glorieuse, du moins la P^ u
Va. cours mais era.ni enror J y lr0 “ v, tou3 les peuples. Les leur/, la poé
Pourquoi 1 assassiner . ou a-t-il lait. a enfantèrent ces chcfs-d’œiAre qui so 1
Qui te 1 a dit? expression du génie latinI et qui co
Pour qui sont ces serpents nui sifflent s à la gloire de cette époflue que 1”
ANDROMÈDE, fille de Céphée, rosous le nom de siècle d'.‘Auguste
de Cassiopée. Celle-ci ayant eu la téirpar Horace, Virgile, Titfe-Li
ter le prix de la beauté aux Néréitant d’autres hommes de
pour venger ses nymphes, suscita un plupart ont été patron
’ésola tout le pays. L’oracle, conpar Auguste. C’est aus
fallait exposer Andromède annonça la belle époque d*
onStre. La princesse, liée sur un i Le titre d'Auguste fut
éides. allait être dévorée, lorsque rcurs romains,
son cheval ailé Pégase, tua le me Auguste (Histoire), s4iitc de
liens d’Andromêde\ et devint son éptrente-quatre empereunfi romain
mède personnifie la femme. Que sa i'.ouvrage rédigé sous^Constantiïf par #.ivers auteurs,
à mille dansrers. — Le nom d'Androm AEGESTE, nonarde plusm^s priâtes de Sflxe et
à une constellation de l'hémisphère tde Pologne, au x 110 si磫c. Lepjj*s connu
lludi'omède, tragédie-opéra de P. (est Auguste HI (1670-1733), électeurSaxe : né a
pièce pleine de sentiments, dont RachDresde, il fut élu roi de Polognc-anrcs la mort de
nna des expéditions,
agne, en Rhétie, e]
rtant. son licutenai'
abie, en ArménicjFt
i lui si^ccéda. I
l’époque sinon la plu’
rillarçte de l'histoire'
rature de
e|iitf^éloqucnce
plus haute
•i'fcuërent tant
sttîire désigne
uififut illustré»
usle, Ovide
énie ou ie talent, dont
és par N^ecèije et protégi
ne que cop-
romaine.
ar les empe-
îvc,
i sous jfc r
rarchitdctu
orté devuis
aonijgraphies/ des
d’Adrien àPrflbuc ;
prènt
tcaul
AE
auteu
1.560
AE
ne si»
mais
qu’il
mœui
An:
pièce
fut su
Ali
Giroi
qui. Subjugué par sa générosité, devint son allie.
Les Macédoniens refusant d'al
ler plus loin, le commérant
revint à Bahylone, où il mou
rut d’une fièvre aigue, sans
avoir pu réaliser les projets
grandioses qu'il formait en
core. Il avait alors 33 ans
(356-323 av. J.-C.). L’œuvre
d’Alexandre fut profondément
bienfaisante et civilisatrice
par la pénétration qu’elle as
sura entre les civilisations
hellénique et asiatique. Mais
son empire fut, aussitôt après
sa mort, partagé entre ses
S énéraux. — Le. nom d’AleXan-
re a passé dans la langue
de conquérant. Un grand nombn
pruntées à divers épisodes de s;
ment usitées en littérature : 1° Si f
dre. je voudrais être Diogène, réponj
généraux oui l’entouraient et qui
égards qu’il témoignait au célèbrcy
fils, rien ne peut te résister, par
prêtresse de Delphes à Alexan»
violemment sur son trépied
uanî l'espérance, allusio:
veau contre lui en 1812 et
replaça les Bourbons sur le trône de France en
1815 ; — Alexandre II. ne en 1818. fils de Nicolas,
monta sur le trône en 1855 ; il signa la prix avec la
France après la guerre de Crimée. Abolit le servage
(1853), entreprit contre la Turquie la gue-n* d«* i’876-
•1877, , qui eut comme consc
nence le traité de Berlin .
mourut assassiné par les ni-
• l^ilistes (1818-1881) ; — Ai.f.xan-
e III. son fils, né le 20 fé-
rier 18V5, monté sur le trône
n 1881 ; il se montra l'ami
et l’allié de la France ; m.
ch 1894.
ALEXANDRE 1er, roi de
Serbie en 1880, fils de Mi
lan Dr, assassiné par une con-j
juration militaire (1876-1903)
ALEXANDRE II de
i»ie, fils de Pierre I er . r
de Yougoslavie en 1921 né
en 1888. Il a pris une -grande
des Serbes contre les Austro-Allemands pendant la
ande Guerre.
EXANDRE ï°r do Unttouberg, premier prince
de Bulgarie de 1879 à 1886, né à Vérone. L'hostilité