QUELQU'UN SUR LA ROUTE ET LE « STAMPEDE » 167 simple que de savoir si une coiffure est à quelqu’un. Le premier point est de la lui mettre sur la tête. Si elle lui va, il y a des présomptions qu’elle lui appartient. Mais l’avocat de l’accusé, après avoir astucieu sement, des yeux, pris la mesure de mon crâne, proposa : « Plaise à mylord d’essayer ce chapeau ! Il s’en faut de trois lignes qu’il coiffe exac tement Thomas Barton ; nous présentons à cet égard les expertises de trois chape liers ; et je mets en fait qu’au contraire il épouse exactement les formes de Sa Sei gneurie ! « Je sus invoquer des motifs légaux, et aussi le respect que l’on doit à un justice, pour décliner l’honneur que l’on me voulait faire, et me soustraire à cette expérience ; le chapeau, d’ailleurs, n’avait pas été dé sinfecté, par crainte que d’imprudentes manipulations ne provoquassent son rétré cissement ou son élargissement. Mais l’avo cat sut trouver, séance tenante, des assis