les contrées lointaines sentent la réalité bleu exagéré de lumière immobile vague sourire mal marié des espèces en face de Dieu. Sur une pierre où nage un acacia pâle et mignon un cubiste m’a déclare que fêtais fou. Je vis ma vie anémiée frottée au phards de la nature. Ces couvertures bleues dorment à heure fixe et reflètent le ciel préfecture inanimée. La vie à sa guise tout bonnement sans idées généreuses la vérité paraît toujours médiocre devant les espaces fermés, un chapeau est lâche ou courageux la misère est illustre comme un dieu triomphant en gestes circulaires