PASCIN 111 PASCIN Le vidage immobile, ou domnole l’œil d’un félin qui a mangé trop de viande, le.r bras et Les mains au ralenti, le regard, en apparence fuyant mais prompt comme un automatique, la parole héditant encore que déjà il a tout dit, Padcin ouvre da porte, puis ded cartons. Ces doigts du tzigane nonchalant qui tourne les feuilles dont ceux d’un trèd qrand artidte ; cet homme decret, ardent, dont on croit parfois L’art fourbe parce qu’il durprend, dérobe à la vie don tumulte et, au-delà, des decrets. Dans t’atelier du boulevard de Clichy ou le doleil finit da journée, on voyait il y a quelqued demaines, de grandes toiles décoratives dont l’effet était incroyable : les perdonnages de mettaient à dortir à medure que la nuit tombait. Et quand t’obdcurité était complète, les nus, offerts mais impitoyables, cernés d’une coulée de phodphore vert comme celui ded cadrans demblaient demander à partir pour aller commettre led dégâts que L’on dait. Mais Padcin edt le maître des monstres qu’il a crééd. Il rit. Ses aquarelles, ded croquis de voyage, Allemagne, Tunidie, New-York, Nouvelle Orléans, dont d’une expreddion plus humaine ; moins endorcelants, ils permettent de s’entendre mieux, ou plus vite, avec l’artidte. Je vous recommande la grève des policemen à New-York, l’arrivée ded diligenced, les cavalierd mexicains, et à l’abri J un méridien torride les diedted nègred dand des caded fraîches. On voudrait pouvoir emmener Padcin à Bahia, la Rome noire, dans un café d’Idraélites du Levant, derrière la Badtille et chez quelques généraux edpagnols; Ou encore, quand finira le règne des gouvernements modérés dous ledqueL le commerce fleurit, lui confier la décoration de la Salle du T rone. Paul MORAND.