178 POÈMES II Pour Georges AURIC. Toutes les fleurs les plus banales à ses pieds pour guider une extase à ne la point guérir puisque le mal qui naît de l’astre a plus d’arôme que le corset des tubéreuses d’Orient il n’est pas une boucle où tu ne te retrouves comme un numéro 5 lancé dans la mêlée et ta croupe où ma bouche a rêvé son musée le soleil fruits d’été oblige à conquérir. Toutes les fleurs de tous les mondes et nos lèvres pour que s’exhausse une aube à jamais sans éclat idéal vouloir s’endormir comme une étoile sur la plage où s’allume un incendie de glaives chaque soir quand les cuirassiers baisent ton bas. Pierre de MASSOT.