LES CHAMPS 26 souder au moment des ciels. J’avale ma propre fumée qui ressemble tant à la chimère d’autrui. L’avarice est un beau péché recouvert d’algues et d’incrusta tions soleilleuses. A l’audace près, nous sommes les mômes et je ne me vois pas très grand. J’ai peur de découvrir en moi de ces manèges séniles que l’on confond avec les rosaces de bruit. Faut-il affronter l’horreur des dernières chambres d’hôtel, prendre part à ces chasses ! Et seulement alors ! Il y a beau coup de places dans Paris, surtout sur la rive gauche, et je pense à la petite famille du papier d’Ar ménie. On l’héberge avec trop de complaisance, je vous assure, et cela finira mal, d’autant plus que le pavillon donne sur un oeil ouvert et que le quai aux Fleurs est désertie soir. Je suis relativement heureux de l’apparition de Notre-Dame du Bon Secours dans deux ou trois livres. Les grêlons que je prends dans la main fon dront-ils éternellement ? Voyez-vous la photographie au magnésium du dément qui travaille en ces lieux à de petites dévastations sans courage et retourne les champs qui contiennent de beaux morceaux de verre? Tu m’as blessé avec ta fine cravache équato riale, beauté à la robe de feu. Les défenses des éléphants s’arc-boutent aux marches lever d’étoiles pour que la princesse descende et les troupes de musi ciens sortent de la mer. Il n’y a plus que moi sur ce