143 OCRE Ah ! BARATE Je t’aime, Gounod. J’ai énormément de tempéra ment. OCRE Oui. BARATE J’aime la volupté. OCRE Vous ne le savez pas. mais vous devez être Mar guerite. Il chante. « Salut, demeure chaste et pure ! » Ils s’étreignent ardemment. RIQUET Hé, voyez-vous, mes amis, Je suis épris de vérité, je ne me nourris que de réalités. Le nécessaire n’est pas de connaître les que relles des différentes choses qui existent Mais de les régler pour un but qui est le mien. Ce n’est pas en vain que le Verbe existe. Il est inutile de juger et analyser pour les émotions et et les sentiments tout ce qui se cache sous les raisons intermédiaires entre les tenants et les aboutissants. Il suffit de prononcer la conclusion avec un