quand les chevaux traversent les accouplements lacustres toutes les armoires craquent la guerre là-bas o le nouveau-né qui se trans forme en pierre de granit qui devient trop dur et trop lourd pour sa mère le chant du lithoto- miste broie la pierre dans la vessie il y enfonce des lilas et des journaux silence fleur de soufre fièvre typhoïde silence le cœur horloge microbes sable mandragore au vent tu l’agites comme la torche de mercure vers le nord l’herbe lézards pourris o mon sommeil attraper les mouches ca méléon astronomique o mon sommeil d’aniline et de zoologie ta tête sectionnée pourrait siffler de belles couleurs jadis la nuit jardin chimique mettait les ordres de l’ambassa deur la lumière propre circulaire verdie dans le cœur des icônes quand tu marches dans l’eau les poissons multicolores se compo sent autour des pieds comme la fleur les rayons solaires de l’accouche-