la valise ou dans la cage neige je pars ce soir l’étincelle pleure dans mon lit dans l’usine hurlent les chiens et les jaguars as-tu aussi donné ton âme à la pierre bracelet saltimbanque au crâne oblong mon frère monte je fus honnête sœur infini fini pour cette nuit cœurs des pharmacies plantes s’ouvrent aux lueurs sphéroïdales et les liqueurs de la religion c’est vrai les lions et les clowns instant note frère rien ne monte rien ne descend aucun mouvement latéral il se lève rien ne bouge ni l’être ni le non- être ni l’idée ni le prisonnier en chaîné ni le tramway il n’entend rien autre que lui ne comprend rien autre que les chaises la pierre le froid l’eau —