67 détruite, que le peintre lui fasse le portrait de la Manucure En Reine des Sports, celui-ci accepte à condition que l’Agent lui prête pour quelque temps tous ses papiers de la Préfecture et lui confie la première affaire criminelle à instruire. Le Peintre rentre chez lui, étage au-dessus, atelier très pauvre dans lequel il n’y a aucun tableau, au moment où il ouvre la porte, il demeure stupéfait, car il assiste à une véritable répétition théâtrale : des personnages jouent des sketches reproduisant les couvertures des « Fantomas » célèbres ; en voyant le Peintre, ils s’arrêtent, tout doucement ils s’im mobilisent, se réduisent, et bientôt ne sont plus que des personnages figurant sur les couvertures des volumes épars, le Peintre se frotte les yeux, il a rêvé, sans doute... mais un seul petit personnage rape tissé, le cocher du « Fiacre de Nuit » se promène encore, et même voltige dans la pièce. Le Peintre finit par l’attraper avec un filet à papillons, à ce moment, il disparaît, le « chasseur » déçu s’assure que les papiers donnés par le policier sont bien authentiques et en place dans son portefeuille ; il ramasse à terre un des volumes, s’installe pour lire, et s’endort. Le cocher revient dans son rêve en le taquinant... Etage au-dessus : trois portes sur le palier (l’escalier, DEPUIS LE TROISIÈME A TOUJOURS ÉTÉ EN SE RÉTRÉ CISSANT, la MAISON EN S’APPAUVRISSANT,