POÈME VERT |\|oir Violet Rouge Le violet engueule les deux autres Chauffeur et piétons Mon nez Est c-nfoncé dans la terre et c’est mon cul Qui regarde le ciel 11 en est Tellement étonné Que le monde un moment va cesser de mourir Mais le coffre-fort a sauté L’amour fait des inondations Il était temps je ne sais pas si le chauffeur A passé sur les piétons Au feu incendie Bouquet que la Terre offre à la nuit Qui s’ennuie En compagnie De ses étoiles académiques Et du ruisseau qui rabâche à la Lune Des fadaises argentées Adieu poète au luth tartes à la crème Suppositoires au beurre de cacao Hourra je salue le poète inconvenant