158 IV Et mon sexe s'ouvre à tous vos joncs d'amour Mais le compas est plus parfait que Dieu Vos joncs d'amour dréssés vers lui et qu'il attend Et le temps est une machine à écrire v C’est toi matelot qui m'écartes les cuisses Godille godille matelot Oui dira la couleur des oui Ces beaux anges qui font la vie VI L’aurore vient tous les matins Voir si le crépuscule est encor là C’est toi beau prince Russe C’en toi joli François vu C’est toi débardeur Espagnol C’est toi prêtre à la main si douce Mais le crépuscule est parti depuis la veille A la poursuite de l'aurore