24 34 Je connais les chemins dociles Qui relient nos douleurs dans l'atmosphère Et la voiture des battements homogènes Qui va et vient sous le réverbère Tu es lumière et ruisseau de l'est à l’ouest Tu caches des souvenirs Dans les poches de ta veste Et tu penses une étoile filante Aujourd'hui penché au bord de moi-même J'éparpille mes rêves ambulants En évations multiples sans retard Mais le miroir se tient très calme Pour les naufrages des regards