37 il fait la joie des astronomes tout le mondé lé prend pour un jeu de plis marins velouté par la chaleur et l’insomnie qui l’enlumine son œil ne s’ouvre qu’au mien il n’y a que moi qui aie peur quand je le regarde il me met dans un état de souffrance respectueuse là où les muscles de son ventre et de ses jambes inflexibles, se rencontrent dans un souffle animal d’haleine saline j’écarte avec pudeur les formations nuageuses et leur cible chair inexplorée polie et adoucie par les eaux très fines