112 SUR UNE RIDE DU SOLEIL noyez matins les soifs les muscles et les fruits dans la liqueur crue et secrète la suie tissée en lingots d’or couvre la nuit lacérée par les motifs brefs à l’horizon remis à neuf une draperie d’eau courante large vivante grince petit coéfficient particulier de mon amour dans la porte soudain éclaircie harcelée par les désirs éclipses pleureuse accélérée palpitante tu t’effeuilles en prospectus d’accords privés l’inconstance de l’eau glisse sur ton corps avec le soleil par le miracle fendu on entrevoit le masque jamais claire jamais neuve > tu marches c’est la vie qui fait marcher la bielle et voilà pourquoi les yeux roulent dans leur pourquoi