miroirs, Poésie ron-ron empruntent le langage même et épousent les char mantes machinations, font que nous sommes quelques-uns qui, chaque ma tin, en nous éveillant, aimerions con sulter Picabia comme un merveilleux baromètre sur les changements atmos phériques décidés dans la nuit. Cette nuit est, pour beaucoup, com plète et je ne m’attends pas à ce que l’anecdote suivante fasse autrement sensation. Mais je la tiens de Picabia et, au cours de ces lignes, elle mérite de passer comme un trait de lumière : Un jour qu’en compagnie d’un de ses amis, M. S. S., de haute noblesse per sane, celui-ci était allé visiter une exposition de peinture à Lausanne, le jeune homme, demeuré par bonheur étranger à notre «culture», lui dit: