ue Orgue Soleil de minuit, regard d’encre, d’où vient cette lueur douce, lourde, souriante ? Tournez, cheveux, chevaux de bois : sur le pain polka des caresses le vert-de-gris de s mains d’hommes, larcin des ténèbres, la roue dentée des baisers, le frein des étreintes ciseaux, passages, passementeries, cascades. Au même instant, dans toute la ville, du • • ' • port aux grappes de raisins à voiles jusqu’aux ruelles chicanes des faubourgs cassés de campagne, les femmes s’immobilisent le long des murs de l’amour, penchent leurs têtes de plomb fondu, gémissent. C’est alors que le ricanement du mépris se glisse entre les lits des hôtels et des demeures, et fait son petit bonhomme de chemin. MOI- Ma jeunesse feuilles filles du vent tortues salades dans je jardin le curé de Saint-Médard professeur le de le latin chevaux landaus lessive la manucure de ma mère tuteur de mon cheveux postiches tailleur bienfaisance bedeau (mollets pique) faut-il que j’abdique ciel œil oiseau dent pine pique Erreur ma mémoire erre serrures des armoires linge lavande indicateur itinéraire au fond des jardins les rhinocéros atlas Vidal Lablache une carte de 1’ Afrique (Nègres palmiers chameaux chaude-pisses) poisson vendredi j ai mal aux reins plus d’étendards je pars 1 amour des arts dans les bazars C était une beau cuirassier ma bonne m’en avait parlé des guêtres une nounce il joue à la manille j’ai peur des hiboux faîtes-moi de la musique • * • et puis la camomille attrape billes un lézard le mur est couvert de lézards le soleil les fait naître ombre du casque chaises de jardin les chevaux ventre à terre aventure départ équipée pas de blague hasard stupide canapé appareil sublime sueurs vaginales chevelure # dors Vicomte de Faulques