Mon enfance triste, à l'affût clés charmes, Le soir allait le voir bayer, Prête à Vécouler, au bord de les larmes, Gobeuse de temps couverts et de blâmes, — Comme moi, poêle, dans mon verger... IL — Danse. Les salades d'es car oie Dansent en robe à paniers Sous la lune blonde et molle Qui se lève pour souper... Un couple d'amants s'isole Gracieux comme un huilier Et va sous un tnouflier Voir pousser les croquignôles... Les salades d'es car oie Demain elles danseront Dans leur urne funéraire Entre les faces lunaires Qui dînent d'un œil vairon Et feront sur leurs frisons L'escalade des paroles Et le pas des postillons... Cependant, la Terre gronde, Et dans cette dame blonde, Et dans ce monsieur qui ment, La Mort, lampe d'ossements, Consume l'huile qui tombe... \ . ' LÉON-PAUL FARGUE