24 main corniche de la petite armoire de la mes maintenant de chercher dans le dictionnaire un mot blement le mot : souris. J’ouvris à Rh et mon atten attirée par la figure qui accompagnait le mot : rhéos aussitôt nombre de parachutes ou de nuasres suspendus ensemble maniéré nuage il y avait, accroupi, un chinois. Je crus avoir trouvé ensuite ce m rongeur. Mais je n’avais plus grande attention à donner de ce côté. Devant le piano tenait en effet M. Charles Baron, ieune homme ai ? moi n’arrive jamais à reconnaître, vêtu de noir et avec une certaine recherche. Avant que j’eusse pu lui demander compte de sa présence, Louis Aragon l’avait déjà remplacé. Il venait me persuader de l’obli gation pour nous de sortir ensemble immédiatement : je le suivais. Au bas de l’escalier, nous étions avenue des Champs-Elysées, montant vers l’Etoile où, d’après Aragon, nous devions à tout prix arriver Nous portions chacun un cadre vide. Sous l’Arc Triomphe je ] marquait sept me débarrasser du mien, la pendule Arago objectait le risque de absolument aue les cadres fussent à l’abri. Nous mes par les placer sous la protection des moulures supérieures, contre la pi-erre, légèrement inclinés, à hauteur de chevalet. Il était question, je crois, de venir les reprendre plus tard. Au moment où nous les Arago itait doré, le mien blanc dimensions sensiblement moins André Breton. PRIX BALZAC. — « A mon avis les deux écrivains qui ont le plus influencé et qui d’une façon générale influencent encore les poètes et les écrivains de ma génération sont Guillaume Apollinaire et Jean Giraudoux. L’un est mort, l’autre est modeste. » Philippe Soupault. Eh bien merde. Louis Aragon