Christian Schad Tristan Tzara Pic (3f 9PI) bia Paris 1919 On s’infuse dans le cirque bourré de roues dentées et où il n’y a que des roues dentées, comme l’odeur de iode sous l’épiderme des tapisseries de bar. Si le cirque est petit et acide réveil-matin (capter les Cavatines excédées) et la tente est transparente (ma tante accroupie sur le trapèze), le salto vitale s’appelle PENSEE. Chaque roue vante sa construction faciale son épanouissement giratoire, la régularité ou la coquetterie lucide chantent la façon dont elles stupéfient la vitesse, etc. Les désirs des roues, les spécialités des centres, déchirent le cerveau et cassent les glaces systématique- . ment, enfoncent les corridors, et produisent, pour la plupart des cas et pour le sang de mauvais caractère, la constipation dont on connaît les suites fâcheuses. Les écoliers évitent les maladies de cet ordre (Elégie ode) qui proviennent de la dila tation d’une certaine Roue, que je rougis de nommer en cette place. Il est nécessaire non seulement que la machine soit en ordre, mais surtout que les bouts des paroles s’entrelacent un à l’autre dans des passages inaperçus et que l’acclimatation des heures devienne, sur les oreilles fragiles, maladie d’altitude grammaticale, — ma- sourka de colibris dans les piles électriques prépare la mixture permanente et le masto donte reviendra dans votre monde avec les aboiements aromatiques des renards intan gibles. 0 S FM ‘ojgmâij zoip gâBâupj subs S99SU9J : VI9V3Id SIDNVHJ 9 ?^ 0AU9 B snou ‘9i|doso|ii|d4UB | py jn9isuoj/\[ 9p sjnoosip un issnp }S9 mb ‘snq9j 99 9p uopnjos B''])