» I r » I * * < * Tl» »• I 1 . ê • I ’ v * • • I 1 I » « \ . r . » * » * * \ * . • * r 9 C’EST ASSEZ BANAL % Quelqu’un en allumant une cigarette: pensez-vous à nos inexpériences? pensez-vous à la pureté? pensez-vous à l’attente? pensez-vous à l’amour? % f % A voix basse: pensez-vous à l’honnêteté? % • 1 ■ % Je pense à une fausse clef; je pense tout à coup à déboutonner mes bottines maigres dans une tasse de thé au lait. 9 » Ça s’est vu" dit une folle vertueuse qui faillit être déesse des valets de chambre, ce qui lui causa du chagrin et lui • % • • * '• < • "fit montrer son cul aux passants naïfs ; elle avoua que deux ou trois fois par mois assise la voix tentatrice de l’amour envahit .ses paupières opoponax c[ui se congestionnent de fard en boutique d’herboriste. Je pense à une robe de religieuse ouverte sur la rue dans un monde sans cabinets W. C. à côté des romans feuil letés les bras ballants. Qu’ avez-vous? \ l n * vous avez remarqué toutes les joies imaginables fardées de Le même en rallumant la même cigarette par sursauts: chandelles dans l’azur des étoiles trouées en girouettes sapin? seriez-vous capable? Il recula. tt Plus doux, n’exigez pas!! Cette même personne m’inspire; aussi je veux le croire inévitablement, et sans précautions que l’honnêteté dans le silence pend aux coins'de ma bouche comme une demoiselle qui vient avec l’idéal marchand de précipices écar- quillés dans les reins d’une écrevisse. • * . * . * • • • ^ * % • . i _ •< i • , • i* \ 4 * i # _ < • t V * % • • . • . | ^ Allons assieds-toi, rallume ta cigarette et éco.ute — moi car il ne te manque qu’une seule chose, une petite bougie pour penser à ta maîtresse défardée par moi. * Il laissa choir sa cigarette allumée. Pensez-vous à la transparence de l’eau ? pensez-vous mourir? pensez-vous à votre mère? pensez-vous comme tout le monde à la souscription? Je pense surtout à mentir dans le miroir des stores baissés par ce que tu as épousé l’aumône de la vie. — Le rire et les baisers sentent le tabac, l’art, la gloire, la beauté, les étoiles, les promenades; tais-toi je vais raconter, rallume si tu veux une cigarette. * * « t Le corset bleu de la lune soubrette dans les herbes des poèmes en feuilles de roses, l’onix des deux cuisses croisées tête, sous le ruissellement d’algues accrochées au rebord d’un hercule gymnaste de coton tourbillon enseveli des habits noirs me câline; luxurieuses provisions de rêves de main droite, sous une couverture inapaisée. Les sur ma avec narines ouvertes dans cette chambre pompette : C’est ça, beau qui chauffe la doublure du Mont-de Piété couvent. i * Si Je public des factures acquittées me taxe de clown, ma conscience monte à travers le vitrail confessionnal. Je suis Satan et Jésus le nez dans un bidon de fer-blanc. * Francis Picabia. t PUCES DON NCR DES A SON CHIEN VAGIN BRILLANT » C' i O o* \ * «c o 'l 3 c * '-'v' •» .... v ..... t . X-JfrX.-A - X . V : - • ... mmM ■; mmm & V...-X .* N *.V : ; ... . . «WW* •: ... ... - ;.y ■ •x-x-'.at O m >y- V v.-.: ... x; a'î; o ô . v.- s ■X m ... V . ... » O < - . * O -y O ys. O O O « oOO° y'/- .... Q ' *> ■r. 'Z - v Xy.XyXsy O o I O C co . V ... . ■v O A. * A; ... ...SJ- .. « m o c tri ■ t'm < ... s s O ■ . ..J J X’ % m . ... ., or ». o s tt- .- X :x m * ■ Æ / o* 5 or .. O >-■ i • V . •y's * Uj ' . «o ... mm w Ÿi? • 'l % x /. •v >■ . : : . .•X-S-v».-' sO Z . V < m o % W- wm mu m* ■:< . ..... 'V r t y y ;• * y.: h ■: W sT m w II •• ■ «O • * .. > I -o ■ t •* x • <r ./tmi m v 11 mi ■■ Uj iV. m Z Q. » i 9)- 0 - «O ■■•y? •>: v V. ; X ; I ... ... •: ■ ■ . ■■■ •• s. ». U/ < ? o VAV.V..V ^ y c Uj > » A- A. « 1 <c a: FM.NC.S pup>ai A V s s* Francis Picabia V