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HYPERTROPHIE POÉTIQUE
Le chien a quitté la maison
reuts sont malades.
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mais mes pa
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Le piano est désaccordé, mais mon oncle a
perdu son mouchoir.
L’argenterie est terminée, mais il ne reste
plus de confiture.
Le poisson est frais, mais ma tante a mal
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l’œil.
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Il faut dire les cabinets sont dans la maison
et non pas la maison est dans les cabinets.
La superbe bonne vient d’arriver, mais mon
père n’a pas été nommé ministre.
Le bateau n’est pas réparé et la bicyclette
est dans le lac.
Les lentilles sont froides
mon calecon.
mais je n’ai pas
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TABAC
L’Armoire est Tard de dire l’art.
La piscine a pissé sur Passy.
Le tabouret est tabac comme tableau.
Le poireau est poil à poêle.
L’herbe est hermétique à Erblay.
La chaise en chêne est chère.
La pendule pantalon pend du paon.
La souris soutane sourit sous la table.
La photographie folliculaire est folâtre.
Le tapis tapisse la pisse du tapir lazuli.
La glycine a glissé dans la glycérine.
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FRANCÎS P i C A B 1 A
HYPERPOÉSIE ITROPHIQUE
P O
Maman a vidé la fosse d’aisances, mais elle
a rempli le verre à dents.
Le verre à dents est rose, mais papa n’est
plus constipé.
L’enfant est constipé, mais la pendule est
juste.
La pendule est constipée, mais l’enfant est
en retard.
Le retard du train m’ennuie, mais l’aéro-
plane circule.
L’aéroplane est haut et le sergent de ville
maintient la foule.
La foule est noire, mais je vais partir en
voyage.
Nathan n’attend tant de temps tentant tant
de tantes
té, au thé, tes tétés athés
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verte.
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à fuir.
de couleur
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Cattawi-Menasse
FRANC* S PKCB'A