Miramar, 2 janvier 1925. Mon cher confrère, Je n’ ai pu jusqu' ici répondre à la lettre que vous m’avez fait l’amitié de me remettre à la gare de Belgrade et vous dire le bon souvenir que j’ avais conservé de nos courtes relations littéraires de Serbie. J’ai été accaparé par d’innombrables occupations et je ne me suis pas trouvé en mesure de vous envoyer l’article que vous me demandiez pour le numéro jubilaire du Zénit à l’occasion de votre anniversaire. Je vous adresse tous mes voeux pour votre journal et je souhaite en même temps que j’ espère pouvoir collaborer dans quelque mesure avec la phalange artistique que vous représentez, pour une grande cause vivante. Mes hommages à votre femme et bien cordialement à vous. J’ai été très heureux de lire les poèmes inspirés et énergiques que vous m’adressez. Henri BARBUSSE Paris ZENIT — 1. février 1921 — 1. février 1926. mm CO CO c/5 CO CO c C C= c c CO CS CU «3 eu C7 O" JT B" C .E .E .E .E E ’cj "o "o ’o ’o O O -t-i CO O -Q CD Q5 Vera BILLER — Abbazia