POEMES garde chaleur mes yeux larmes Les dernières Maintenant tu ne pourras pleurer Jamais plus Par les chemins VAutomne vient Des doigts invisibles Arrachent toutes les feuilles Quelle fatigue ! Une pluie d’ailes Couvre la terre La chambre déserte On sent s en aller la lumière Les ombres sortent de sous les meubles Au loin les objets qu’on a perdus Se rient nuit La chambre s’inonde Un cri Plein d’angoisse Personne ne m’a répondu y IN CE JS T HUIDOBRO KILIMA DJ A RO Le sinistre gronde. Seul l’esprit voltige sous la giboulée de la tourmente. Le refuge de voyageurs égarés... Tremble le sommet de la montagne comme un peuplier abandonné Ce ne sont pas les Alpes ni les Pyrénées