Tu accarezzi il levriere che ti alita su le mani e sbianchi nel delirio terribile della morfina GINO CANTARELLI SENTIMENTS DANS LES PALACES Atmosphère de palace — girandoles — agapes de fruits sur les nappes — nikel — • « cuir — cuivre — étincellements — et dans les couloirs kilométriques # les Males. Hall — coupole — verrières sur la Mer claire — claire — et les analyses des banquises du Pôle — Agonie du soleil vers l’Infini au delà du promontoire et des naufrages il a forcé le blocus des sentiments par sa MORT. Gens de Palace — gens de Palace — écoutez-moi : je suis le bon petit avertisseur — l’observateur — et les cuis-cuis — de votre cœur je les attends comme sœur Anne d’une tour. Je suis votre âme-sœur des wagons-lits et je hante comme vous — comme vous — les thermes et les mers. Ne courez pas ainsi voir le soleil MOURIR. Vous resteriez fixés comme un coléoptère au verre — au verre des verrières circulaires. La mort — la mort — sonnez fanfares à pleine gorge — la mort — mort çà sent mauvais gens de Palace — à voir en face — et je m en vais — bouchez vos nez le nez de vos petits sentiments sur mesure et de votre irréligion sans avenir — Finir — Finir — Futur — Futur —