Pour Laurena la lampe vive boucle les parfums qualité neige Quelques grandes figures des fleuves furieux des lumières comme des fleurs insomnies dans le musée des zoologies incultes s’appliquent sur la carrosserie de l’aveugle La petite main qui pendait à la cave appelle au soleil l’horaire astrologique le silence auquel elle a droit la chemise de genièvre faible nuageuse l’aérographe en cagoule se dédoublant dans les ténèbres C’était une ville magnifique un modèle de saison Toute vie a ainsi ses petites coiffées à l’espagnole Pour que les femmes fussent plus belles les eaux s’agenouillaient au pied des lits l’S.O.S. des mannequins Quand le brouillard eut dépassé le lieu du rendez-vous les arbres se .prirent à voler impérieux et virginaux Ils plaisantaient sans lendemain avec leurs maîtresses et quoi qu’il fît presque nuit la dernière minute de l’étranger commença sa carrière de main d’ivoire Les couples insolents buvaient l’eau dormante 9° . eru cusxxsnb eb üe de Jf^aÂ,ILxsbie cctkisbccik üe <>evu de Àeé- < Les clartés tirées au sort plüs Farouches que le Grarçd Paorj plus solitaires que le goût du sarçg durait leur période irjFerrçale échappant aü,x chasseurs d^onr^n^es