$t né à Paris lé 12 noyem- \fhulète en plein quartier d' v .7 un lit employé, Jean- mm i upeckiir a la Pré- , son épnqse.. Le père était ère, née à Landroff, près < dt deux enfants. Puînée était sa sœur que lui de deux-uns. Elle fut emportée en 'détenir :*o2< à ta suite #une rapide maladie et après avoir > v wuJè ‘Dans te milieu pauvre, riîais très imi ettrès rëli- : . *, etù sœur fut là grande affection delà jeunesse du maître. : >n ?nn umi a T heure quelle fut la conséquence du chagrin que / siiuatio.fi très modestie jdu tpénage, ces enfants furent élevés-et instruits avec soin, la sœur Maria au couvent, le jeune Auguste, d'abord à une école des Frères/dans le quartier ; >ais, dans l’institution dé son oncle Alexandre. . . „■ ; ; . .• - Si médiocre, en effet, que fut ta simotion paternelle, cet oncle Radin était parvenir fàd'^f faire; ne: situation assez relevée; 'Souvenirs de maître, un esprit d’une certaine culture; U défait voue.(h h-unie heure à Lenseignepiènt et diri geait avec mîccès cm: wwiah.-n cm faisait concurrence au Collège de ta VU:?. Radin pu: donc mis en pension chez son oncle et y demeura jusqu’à sa quatorzième annéè.