les courants d’idées qui donnent à notre art mo derne une si déconcertante variété. Je n’ai pas voulu donner une vue d’ensemble de la produc tion française. Il y aurait une singulière injustice à méconnaître par des classifications exclusives l’autorité et le talent d’artistes comme J. P. La u- rens, Besnard, Aman-Jean, Simon, Cot te t, et bien d’autres, qui représentent eux aussi une part du patrimoine artistique de la France moderne. Tout ce qui plaît à une raison de plaire. Aussi bien, si les classifications sont commodes, si le point de vue historique est utile, si l’artiste et le critique sont nécessairement un peu sec taires, c’est au public de juger sans parti pris plutôt les œuvres que les doctrines, et d’en jouir. Silencio, Juillet 1917. Maurice D enis. / 13