peignit dans les ombres comme dans les clairs. Puis ce fut l’application intégrale de la théorie des complémentaires, la „dioision“ du ton, le „pointillisme“ ou le „Dirgulisme“. L’impressionnisme et le néo-impressionnisme apparaissaient successiDement. La palette était éclaircie, renouoelée. L’artiste anait dé sormais à sa disposition des moyens, issus de l’énolution des techniques, que jamais ses prédécesseurs n’eussent osé même rêner. L’enthousiasme n’alla point sans outrance, ou, pour parler plus exactement, sans la con- oiction, d’ailleurs bienfaisante, que la nouoelle technique implique la nérité totale, l’absolu. En fait, celle-ci ne représentait qu’un nouDeau moyen d’expression connenant plus spéciale ment au tempérament qui l’aoait découoert ou déneloppé. Et lorsqu’il apparut de nou- oeaux tempéraments, ils refusèrent de s’en contenter, ils firent preune d’un éclectisme instinctif. Considérez les toiles de cette Expo sition, et nous nerrez que c’est le moment où est paroenu aujourd’hui l’art français. Aucune réaction, néanmoins du faux traditionalisme