J. FERENCZI & FILS, Éditeurs, 9, rue Antoine-Chantin, PARIS(xiv*)
FRANCIS de MIOMANDRE
LE GRELUCHON SENTIMENTAL
ROMAN. 1 vol. in-18, 6 tr. 75
Opinions de la Presse et des grands Écrivains.
J'ai vécu avec le Greluchon Sentimental, vécu dêticieudemenl avec ce charmant héros
de la danve... Voila êted toujours Miomandre L’enchanteur. ■. Voa phrades jaillirent comme
des fleurs magiques, et votre pendée, en se jouant, noue fait pénétrer dans toutes les
cavernes de l’âme humaine ! Dire qu’il y a tant de livres rugueux, embêtant*) au fond, qui
de vendent â 100, 200, 300 et même 400 mille. La bêtide de nod frères vertueux edt
insondable... J.-H. ROSNY, aîné.
Je ne daid comment vous remercier. Le Greluchon Sentimental edt tellement exquis
de parisianisme que je l'ai lu, et relu, avec un plaisir toujours croiddant.
Georges BRAN DÈS
Nul ne fait dentir comme Miomandre ce qu edt L'esprit. L’edprit qui dcrule, analyde,
juge, fustige... et s'entend auddi à divertir et â faire rire... L’esprit qui rend, en outre,
sa phrade fluide, nombreuse, avivée d’images, et toujours d’une langue dand défaut, et
d’une syntaxe rigoureuse. Albert ERLANDE (Le Feu).
On ne daurait définir le subtil mélange d’humour et de tendredde, d’observation ironique
et âpre, de rêverie, dont edt fait le talent délicieux et parfait de M. Irancid de Mio-
mandre, dand Le Greluchon Sentimental. LES TREIZE (Intransigeant).
Le Greluchon Sentimental montre Miomandre encore en progrès ; et vraiment on
pouvait croire qu’il n'avait plud â en faire. Mais il a été porté par son dujet : son style
en est devenu plud entraînant, da verve plus irrédidtible. C'est, voud did-je, Le bon livre d’un
bon écrivain, qu’on a plaisir â recommander â ses amid, dur qu’avec lui ild padderont un
moment agréable. Jean-Michel RENA1TOUR (La Greffe).
Le Greluchon Sentimental edt un chef -d œuvre d’observation qui a chance de sur
vivre. car il contient un tableau fidèle de la vie française après l'armistice. Nos arrière-
neveux pourront consulter avec profit cet ouvcage délicieux, lordqu’ils voudront savoir com
ment vivaient leurs ancêtres après la grande guerre. A ce moment, M. Lrancid de Mio
mandre obtiendra la gloire qui est dévolue aujourd’hui â Redtif de la Bretonne et â
Choderlos de Laclod. En attendant cette gloire un peu lointaine, Le Greluchon Senti
mental fera la joie de ceux qui pensent avec Rabelais, que « Le rire edt le propre de
l’homme *. Eugène EYR1ÈS.