HYMNE
H ymne, à peine d’une eau mourante sur le sable,
O pins, vous limitez l’azur indispensable
Et le couchant prélude à vos cimes rougies !
Un bras faible se noue en des mythologies
Scabreuses dont la flûte émeut l’enchanteresse
Au torse vain du faune avide. La caresse
Initiale flue avec de l’ombre.
Alcée ?
Alcée en pleurs dédaigne une rose glacée
Où, depuis qu’en certaine émeraude un délire
Suscita les clartés mystérieuses, lire...