Volltext: Vingt-cinq-et-un poèmes

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la grande complainte de mon obscurité deux 
regarde mes cheveux ont poussé 
les ressorts du cerveau sont des lézards jaunis qui se 
liquéfient 
parfois 
le pendu 
troué 
arbre 
le soldat 
dans les régions boueuses où les oiseaux se collent en 
silence 
chevalier astral 
tapisseries fanées 
acide qui ne brûle pas à la manière a'es panthères dans 
les cages 
le jet-d’eau s’échappe et monte 
vers les autres couleurs 
tremblements 
souffrance ma fille du rien bleu et lointain 
ma tête est vide comme une armoire d’hôtel 
dis-moi lentement les poissons des humbles tremblent 
et se cassent 
quand veux-tu partir 
le sable 
passe-port 
désir 
et le pont rompre à tierce résistance 
l’espace 
policiers 
l’empereur 
lourd 
sable 
quel meuble quelle lampe inventer pour ton âme
	        
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