écrivant chacun un vers de la première chose
qui nous venait à la tête.
Le résultat .dans ce cas est très semblable
aux poèmes faits avec des phrases découpées
mais il souffre du même défaut que nous venons
d’expliquer.
Je trouve qu’actuellement, il y a peu ce
poètes qui nous donnent la sensation de tel
dans leur œuvre générale. Hier, c’était Apolli
naire le seul qui donnait cette sensation,
aujourd’hui, parmi ceux que je connais à faid,
il n’y a que Tristan Tzara et Paul Eluard.
Tzara arrive presque toujours à domer
les degrés de bouleversement suffisant mur
prouver que la charge était forte.
Eluard, ah ! si Eluard voulait...