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-tns commentmre, les soiuoques ei ies au&
>gues de l'inspiration, ses progrès, ses in-
erruptions, s>on piétinementses coups d'aile,
ses affres et sa volupté.
Eh ! bien, dans tout ce qu'il entend, il faut
que le poète fasse un choix, il dit expressé
ment : « Bruisiez, voix mêlées parmi lesquel
les je chercherai la voix qui est la voix que
^attends. , Comment la distinguer, sinon par
discernement ? Recommandation de la nom
mée MUm : « La sûre voix sache la recon
naître... » Le cri du cœur sera pesé par la
raison, même dans ce lyrisme personnel dont
le goût a rendu le vingtième siècle injuste.,^
l'égard des autres modes de la poésie ' Et
Muserole, qui n’est d°nc pas si sqJ&s .• « Dans
quel ordre mettrons-nou^w/us ces vers mé
langés, nui. ' jht pas la strophe ? »
imagine bien, que cette « prose sympho
nique * n'est pas d’une lecture facile. L’on
est payé de son effort par un petit poème sur*
l’âme de la forêt. Remarque : comme une-
chorégraphie a besoin de paraître en chair
sur le plateau, la rèèitation est ici indispenv
iable, les douze voix :
-r. Mais dix grandes pages, et les répandre
sur plus de cent, pour expliquer la naissance
de sept vers...
— Ah ! il en faudrait dix mille
0R10N. !
•V,