III
golfe mouton
gonfle
la mort noircit les ongles
tes mains lucifuges caressent les louves et les fleuves
ton œil cuit : descends arraignée de cuivre
attends sur le cœur j’ai de si belles taches
aux bords cicatrisés comme les robes des jeunes-filles
en arcs-en-ciel de cendre
les couleurs humides rôdent
ivres