L’évidence sépare ^extérieur de ^intérieur
L’Aphorisme est un cataplasme de consolation : Vivre
est une maladie imaginaire : se débattant, poursuit le bon
heur, le plus lourd que l’air — le plus leger au vent
s’abandonne : — Cet humain, tenant d’un pied l’inertie,
la vitesse de l’autre — encore par ses jambes, est dépen
dant de l’extérieur et tributaire. A une cloche de verre
équivaut l’idée — essaie de conserver une force — comme
la cloche surplombe un fromage. L’humain est isomorphe :
l’extrinsèque est déliquescent, efflorescent l’intrinsèque.
Un chimiste raté vaut le philosophe — qui, en évaporant
des vocables, découvre des principes. L’Ozone filigrane
— amorphe — la carte de visite de la spécialisation. Le
chiffre remplace le « moi » confisqué ; le nom, honorable
ment, l’habille : il n’existe pas, le nu du « moi » effecti
vement
— Qui, là-dessus, d’allotropique, désire retourner à sa
valeur essentielle, se brûle la cervelle, consciencieuse
ment : il s’ag't de décomposition endothermique, en
visant, sans tragique, comme qui dirait le second pronom
du verbe réfléchi au mode personnel : présent.