Mort-né — ciel —terre — zéro plus deux font trois.
La multiplicité des choses, expulsant les deux derniers ;
trois est un polynôme. Comme zéro, la mort est amor
phe : ce pendant avec une porte grand ouverte sur bien de
possibilités.
La non-existence possède sa carte d’identité. Mort-né
— moins un en deçà de zéro — à la base : polymorphe
est le polyèdre. Chue dans l’abstraction, laisse un schéma
sans dimensions — la réalité. Les chalets publics de né
cessités fixent, autant que les musées ; sans cette nar
cotique conviction toutefois, l’éphémère du passant. Une
roue sans moyeu est nécessairement sans raies. Ici, dans
l’indéchiffrable, par un phénomène diastasique, pointe
la résurgescenoe de l’immatériel, de la matière vainqueur.
Rendre la masse à la lumière ! l’indémontrable gère la
démonstration. Mène au delà de la sensible distinction,
le vocable — et déroute. Devant l’incohérence, pous
sent du fond des poitrines un contre-ut les désabusés !
En vue de redresser la conviction — embrouiller d’avan
tage l’absurde ; délayer le scandale. L’avenir est au poing,
qui étranglera, des siècles morts, le plus d’esprits sché
matiques : la mort hypnotise la vie, comme le rêve illu
sionne la réalité.