Full text: Le Pan-Pan au Cul du Nu Nègre

Encore‘Pan-pan ? — 
Bondissent, excités aux rouges bruts, sur les momies 
hiératisés, les buffles ? — Avoue que facile il est quand 
toute une armée t’apporte la solution à l’équation que tu 
te poses toi-même. 
Tu me montres ton nombril en énonçant à l’éviden 
ce : Encore un œil. — C’est, de la boule de savonée, l’âme, 
qui colle à la tête de la pipe. Aux choses soudées, l’âme 
est une soudure. Parce que ta puissance élastique se meut 
libre encore dans du souvenir l’ambiance, tu es capable de 
rapprocher le disparate de l’évidence. Ta mère t’apprend 
que, seuls, les porcs voient le vent, alors que toi, tu l’as 
vu, parfaitement, fugitif, éteindre les étoiles. Mais, sans 
prétendre à l’infirmité, tu es relativement gras. Le souvenir 
est la graisse à l’engrenage. Quelle folie de vouloir faire 
son apprentissage d’homme. Ne sont-ils pas deux, déjà, 
qui devant toi, se glorifient de leur œuvre. Un simple dé 
tail : Contemporairement la chienne en folie est emmenée 
chez le mâle ou sous la pompe, l’humain élève à.sa propre 
démence une forteresse. 
Mon « moi » ne sera pas une pyramide montée sur 
roues, maintenant que tu m’aies fait découvrir, se cachant 
au fond de (’œil fantastiquement velouté qu’est le nombril, 
l’âme humaine. C’est toute une architecture, mouvante que 
les incurvations des influences, à démolir.
	        
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