Full text: Le Pan-Pan au Cul du Nu Nègre

Je sors, d’entre hier et demain — volatilisé comme le 
bruit arc-en-ciellé, que font deux bouteilles, vidées, que 
l’ivrogne, en un raccourci plastique, base contre base, exé 
cute, à son avis, capitalement. 
Une balle se promène par les rues, les boulevards. — 
Qu’ils sont moelleux ces humains ! Sur ma ligne à zig-zag, 
je voltige, bondissant de la en soie froufroutante marquise, 
au déchargeur de charbon à carrure métallique. Je bondis 
le pan-pan ! Du rythme, mon nègre, adamantin ! Si un 
jour tu deviennes apache, tu aimeras ton révolver. Pan- 
pan ! Pan-pan ! — Est-ce moi ou un excentrique américain 
— pan-pan — dont le « moi », élastique, est une balle en 
caoutchouc ! 
Pan-pan — l’émeute ! Terrassiers, la contradiction diplo 
matique demande des débardeurs. Toute la vie cinémato 
graphique se déroule au journal à la dernière page : méca 
nique mensonge moral, à la réclame tam-tam. Polygamie, 
tam-tam. — Les types hilarement intéressants sont les 
mythiques cochers de fiacre, les racoleurs et de la rue, 
nuitement, tous les co-locataires.
	        
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