und absteigenden, schwarzen und weißen, wesentlich kürze-
ren Sekundär-Vertikalakzenten. Aus der Begegnung und
Durchdringung dieser beiden Formgruppen, die proportional
als Wiederkehr ähnlicher Einheiten aufeinander bezogen sind,
resultiert ein aus der Gesetzlichkeit der Fläche entspringendes,
sensibel rhythmisiertes und instrumentiertes Gleichgewichts-
spiel. In seiner klingenden Ausgewogenheit, der etwas von
einer musikalischen Fuge eignet, beruht die ästhetische, künst-
lerische Schönheit des Werkes. Auch sie befindet sich in
Uebereinstimmung mit Kupkas kunsttheoretischen Ansichten
und Auffassungen, denen er beispielsweise in einem «Creer»
überschriebenen Manifest folgendermaßen Ausdruck gegeben
hat: «Lorsqu’on a reconnu l’impossibilite de saisir le caractere
veritable des aspects de la nature par les moyens du peintre,
lorsqu’on a reconnu aussi l’erreur de linterpretation fantai-
siste, on ne se trouve pas, comme on pourrait le croire, devant
un vide neant. En principe l’art de la peinture est d’articuler
une proposition ä la lecture de caracteres graphiques, plastiques
et d’etats de la lumiere et de la couleur combinees. L’indica-
tion du sujet, l’observation exprimee, n’est pas proprement
art, elle devient dans le reve&tement subjectif, attribue general-
ment par l’artiste aux aspects de la nature. Ayant pu les trans-
figurer en „une deuxieme realite“, Vl'artiste revele ainsi un
dispositif de createur.>»
Eduard Hüttinger
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