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de l’Ecole officielle, de ses recettes périmées, 
il ne saurait plus être question. Mais on se 
trouoe à un confluent, ou plutôt à une sorte 
de delta, où les grands courants de la géné 
ration précédente oiennent se mêler et sont 
encore partout reconnaissables. D’autre part 
se distingue de plus en plus nettement le 
souci d’associer l’oeuore d’art à l’intimité de 
la oie moderne, au milieu quelle deora con 
tribuer à éclaircir et à orner. En un mot, et 
dans la meilleure acception du terme, celle-ci 
deDient „décoratioe“. 
En effet, il est tout d’abord éoident que 
nos artistes contemporains ont établi un com 
promis entre les différents „absolus“ que leur 
proposaient les techniques nouoelles. C’est 
ainsi que tel peintre - je me suis imposé de 
ne nommer personne, mais dous le re 
connaîtrez facilement - procède d’Ingres de 
la façon la plus oisible par son tempé 
rament, par les sujets qu’il adopte, par la 
conception générale de l’œuDre - et il peint 
à tous plats, mais aoec la palette des impres 
sionnistes! Tel autre remet sur ses brosses les