Full text: Vingt-cinq poèmes

dieci soldi: voilà 
mon âme 
tu n’auras point ce soir 
le dernier raffinement de ma 
virilité 
depuis longtemps j’ai surpassé 
l’industrie mensongère 
où tu traînes en ce moment ton 
être de soleil putride 
ainsi je passe tu passes comme 
la mère l’enfant 
lentement plus vite lentement 
un après l’autre ou tous ensemble 
oeil de souteneur en or d’éternité 
timide 
disparaît 
cloche d’un sentiment du rasta- 
qouère 
reine sage-femme 
et c’est tout-à-fait dépourvu d’in 
térêt
	        
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