dem Tribunabilde und unter No. 618 Photographie
(A. Braun) der Haag’schen Replik.
Das um 1620 gemalte Werk wird von Rooses*)
wie folgt beschrieben und begutachtet:
»Adonis est debout ä gauche, la main appuy&e
sur la lance, ses chiens ä cöte de lui. Cupidon cherche
a le retenir par la jambe. Venus assise sur un banc
de gazon, toute nue, avec une simple gaze sur le mi-
lieu du corps, cherche &galement ä retenir son bien-
aime. L’expression suppliante de la de&esse, dont les
beaux yeux brillent de Veclat des larmes, est admi-
rable. Son teint clair est adouci par l’ombre transpa-
rente qui tombe sur son visage. Adonis parcontre est
le rude chasseur qui abandonne la divine amoureuse
pour ses chiens et pour les mäles plaisirs de la chasse.
L’arc et le carquois de Cupidon gisent par terre. Dans
le fond, un paysage. Cette derniere partie, ainsi que
les chiens, sont peints par Wildens. Les figures de
la main de Rubens, sont exe&cutees dans une gamme
chaude. Le tableau est excellent, mais ne Justifie ce-
pendant pas l’enthousiasme du catalogue de la collection
qui le declare, aussi bien pour la composition que pour
le coloris, un des plus beaux exemples de la puissance
du maitre.
La composition est evidemment inspiree par le
tableau du Titien qui fait partie du musee royal de
Madrid et donc un second exemplaire se trouve ä la
National Gallery de Londres.«
Eine vzerte Composition finden wir nun in dem
vorliegenden Bilde. Es ist auf Leinwand gemalt 173 cm
hoch, 233 cm breit, stimmt also nahezu mit den Maassen
von Nr. 3 überein. Die gänzlich unbekleidete Göttin ruht,
dem Beschauer den Rücken kehrend, auf einer Rasen-
bank, welche zum Teil von einem weissen hemdartigen
*) L’oeuvre de P. P. Rubens par Max Rooses, Vol. III, Pag. 178.